De même sa dénomination générale n'est pas fixée, la météorite étant appelée indifféremment aérolithe (« pierre de l'air »), uranolithe (« pierre du ciel »), etc.
De même, il parait impossible que l'aérolithe puisse flotter en mer : celui-ci s'enfoncerait aussitôt dans la croûte terrestre et provoquerait un raz de marée d'une puissance cataclysmique.
Titios, en prenant exemple sur l'aérolithe qu'il vient de détruire, explique qu'il va tirer parti des points faibles de son adversaire, considérant que la perfection n'est pas de ce monde.
D'après le témoignage des personnes qui l'ont retiré de la terre et la vue des fragments conservés, l'aérolithe avait, au moment de la chute, une forme irrégulièrement conique.
Construit en deux parties, ce roman est constitué en premier lieu par le récit de la découverte de l'aérolithe par les deux archéologues et du déchiffrage du manuscrit qu'il contient.