Les offices sont célébrés debout, au même moment, par tous, au son de la cloche et en observant certaines des cérémonies du chœur (inclinations, agenouillements).
Lors de l’arrêt, le conducteur peut effectuer, si l’emplacement le permet, une manœuvre appelée agenouillement destinée à faciliter la montée/descente de l’usager.
S’arrachant aux ornières de l’amour banal, aux agenouillements devant la beauté féminine, l’auteur décrit les grâces suggestives des formes de l’Éphèbe.