Après l'indépendance en 1956, le mouvement pictural tunisien entre dans une dynamique d'édification nationale, des artistes se mettant au service de l'État.
Pour l'édification des grandes arcades actuelles, les chapiteaux anciens auraient été supprimés et remplacés par de nouveaux chapiteaux situés un peu plus hauts.
Mais l'édification des remparts a également une importance économique, permettant de contrôler les denrées entrant et sortant de la cité et de les taxer.