Cet acide peut irriter la voie œsophagienne ou gastrique lors de son ingestion et provoquer des dommages rénaux (calculs, oligurie, albuminurie, hématurie).
Toutefois, c'est dans les affections rénales (infections telles que colibacillose, cystite ou néphrite, calculs rénaux, albuminurie, oligurie) qu'on l'a surtout employée.
Un regain d'intérêt se manifeste actuellement pour valoriser à nouveau cette plante dans le traitement de l'albuminurie, de la goutte et contre l'excès de cholestérol.
D'abord réformé en 1955 pour cause de présence d'albuminurie due à une néphrite contractée durant ses jeunes années, il avait été tardivement incorporé.