Les « revendeurs de foing et de paille » (revendeurs de foin et de paille) assurent la vente en gros du foin, généralement par charretée (à peu près 400 kg).
Aux jours permis, les paysans de l'intérieur sont descendus sur la côte où ils ont prélevé eux aussi de pleines charretées de ce précieux fumier de mer.
Les chanoines du chapitre approchent les saintes reliques des flammes ; peine perdue, l'incendie poursuit ses ravages, malgré l'emploi de 150 barriques d'eau et d'une cinquantaine de charretées de fumier.
On les empilaient dans la charrette et on en remplissait de surplus des sacs qu’on disposait sur la charretée car, si la tourbe est volumineuse, elle est légère.