La beauté corporelle est enseignée comme une valeur fondamentale pour les filles, alors qu'on apprend aux garçons à être forts, courageux, autonomes et combatifs.
Lors des quatre premières étapes, un jury issu de l'organisation détermine « l'équipe la plus combative », trois coureurs de celle-ci montant sur le podium.
Au tournant des années 1970, ces organisations font preuve d'un syndicalisme combatif, n'hésitant pas à s'opposer frontalement au gouvernement et au patronat.
Le fait d’envisager la négociation comme un duel conduit ainsi généralement chaque protagoniste à adopter des postures plus combatives que d’ordinaire.