Isée était réputé de son vivant pour être manipulateur et procédurier, exploitant les zones d'ombre du droit athénien pour gagner des affaires douteuses.
La répression politique continue : en 1956, un décret-loi autorise la relégation et l'assignation à résidence de tous les « citoyens douteux », arbitrairement désignés.
Leurs dirigeants se sont enrichis frauduleusement grâce à des commissions douteuses, fausses factures ou surfacturations, totalisant 100 millions de dollars.