Elle se distingue de l'encroûtement, couches cohérentes toujours adhérentes au substrat (par exemple le calcin, le sulfin appelé aussi « croûte noire »).
Les couches laminaires sont le produit de l’adhésion de grains très fins (encroûtement) sur une surface mucilagineuse d’un tapis alguaire ou microbien recouvrant le noyau.
De petites concrétions y ont été cassées pour faciliter l'accès à la paroi de l'abri, et des encroûtement de calcite ont été martelés pour rendre la surface plus plane.
Sur de nombreux monts sous-marins se forment ou se sont formés des encroûtements polymétalliques, souvent riches en cobalt et en platine, dont l'exploitation industrielle pourrait être envisagée à terme.
La croissance en encroûtements (et notamment avec biominéralisation) dans la croûte biologique pourrait être une adaptation à des environnements difficiles ou à haut risque de prédation.
Les encroûtements de strontiodressérite qui adhèrent sans problème à la calcite se trouvent souvent en porte-à-faux un à deux millimètres au-dessus de la marne.