Mais les études génétiques ont confirmé leur proximité avec les lamproies et le fait qu'elles seraient donc des vertébrés ayant perdu des caractères ancestraux.
Parfois des lamproies fixées sur la peau du saumon « profitent » en quelque sorte du saut pour remonter plus facilement vers le haut du bassin versant.
Des preuves ou indices fossiles suggèrent maintenant que les lamproies et les cephalaspides ont acquis des caractères similaires, mais par convergence évolutive.