Pour mémoire, cette racine aurait été : phénicienne (purami, branchu/ombragé), grecque (pyrénos, enflammé/blond) ou celte (bir, pointe/sommet) ou (pyr/poire).
L'utilisation de fleurs artificielles, délivrant une solution sucrée et odoriférante, a permis de mettre en évidence la mémoire olfactive des abeilles.
Il abordera également l'entomologie (sur le bombyx du mûrier, historiquement le premier mémoire consacré à un invertébré) et l'embryologie (formation de l'embryon de poulet).