Le devşirme était craint des familles grecques qui, malgré elles, laissaient partir leurs fils, lesquels plus tard, pouvaient devenir leurs oppresseurs.
Toutefois, certains de ses membres sont tenus en haute estime pour l'aide qu'ils apportent à la population : lutte contre les brigands, contre l'oppresseur.
Au contraire, si l'État se détache trop de la population, la communication sera coupée et l'appareil gouvernemental agira essentiellement en tant qu’oppresseur.