S’arrachant aux ornières de l’amour banal, aux agenouillements devant la beauté féminine, l’auteur décrit les grâces suggestives des formes de l’Éphèbe.
Elle vit dans n'importe quel type d'habitat humide : bois (ornières des chemins forestiers, mares), landes, dépressions prairiales, terres cultivées, parcs et jardins.