Ce désir devient loi existentielle : la perversion « reste rivée à un stade de développement dont la structure affective est devenue la loi de son existence ».
Celle-ci consiste avant tout à susciter la désagrégation morale des êtres, la perversion de l’enfance, par le biais de la femme, manipulée et destructrice.
Seulement, si le donateur ne cherche plus le plaisir de l'autre mais uniquement sa gratification personnelle, on va pouvoir alors parler de perversion du don.