Les sorties de secours sont verrouillées et barricadées avec des planches pour éviter que les resquilleurs ne se fassent ouvrir l'accès par un complice entré normalement.
Les conditions de sécurité les plus élémentaires sont négligées, et engins de chantier, poutrelles provisoires et autres points hauts servent de tribunes sauvages aux resquilleurs.
L'essence de ce modèle est qu'il y a en pratique une solution non-politique au problème des passagers clandestins (ou resquilleurs) dans la gouvernance locale.
Les ouvertures extérieures sont garnis de pics de fer, vraisemblablement pour éviter que les resquilleurs n'escaladent les parois et s'introduisent dans les galeries.
La compagnie emploie, en 1832, six gardes chargés de veiller que les agents de la compagnie n’endommagent pas les propriétés riveraines et à écarter des wagons d’éventuels resquilleurs.