Elle propose une voie intermédiaire axée sur un travail spirituel et philosophique entre les groupes maçonniques théistes proches des anglo-saxons et les obédiences plus marquées par des thématiques sociétales.
Il faut attendre les années 1890, pour voir la naturaliste accepter certaines idées évolutives, bien que selon elle, ces avancées soient toujours une partie intégrante d'un grand système théiste.
Étant théiste en même temps qu’historien des sciences et cosmologiste, on a demandé à plusieurs reprises à Gingerich de commenter les relations entre la science et la foi.
Cette notion de souveraineté et de liberté est à la base de leur compréhension de l'amour, car les théistes ouverts croient que l'amour n'est authentique que s'il est librement choisi.
Selon cette définition, le pouvoir de choisir peut faire autant de mal que de bien, et les théistes ouverts considèrent le libre-arbitre comme la meilleure solution au problème du mal.