En effet, lorsque le yod est subséquent à une occlusive sourde, le [j] devient [ç] comme dans pierre [pçɛʁ], par effet d'assimilation progressive du trait sourd de [p].
Pour sa part la vélaire c ([k]) devient un yod [j], qui palatalise le [t] qui la suit et finit par être absorbée dans la palatale affriquée résultante.